Nous rejetons les accusations du ministre des Affaires étrangères d’Égypte visant la Turquie lors de la réunion du « groupe restreint » sur la Syrie.
Ces accusations sont faites de délires qui ne peuvent être prises au sérieux, alors que notre pays a eu des martyrs dans la lutte contre le terrorisme en Syrie, a accueilli près de quatre millions de Syriens, protège le peuple d'un régime cruel et des terroristes dans le nord de la Syrie, et a apporté une contribution concrète au processus politique tant à Genève qu'au sein de la plate-forme d'Astana.
Le rôle que la Turquie a assumé en Syrie continuera d'être une garantie non seulement pour sa propre sécurité nationale, mais aussi pour l'unité politique et l'intégrité territoriale de la Syrie.
La responsabilité de l'Égypte, en tant que membre du « groupe restreint » sur la Syrie, est d'écouter les attentes des peuples et de servir la paix, la sécurité et la stabilité durables dans la région, au lieu d'agir comme le porte-drapeau des régimes oppressifs, des structures parallèles putschistes et des organisations terroristes.